Les candidoses ou mycoses vulvo-vaginales, pathologies extrêmement fréquentes chez les femmes en période d’activité génitale(entre la puberté et la ménopause).Elles se manifestent par des démangeaisons, des brûlures et/ou des douleurs aux rapports. Elles ne sont pas contagieuses.
Le prélèvement devra être réalisé sans toilette depuis la veille au soir, sans désinfection préalable et à distance de plus de 15 jours de toute prise anti mycosique.
Le traitement des candidoses vulvaires peut être local en crème ou oral par gélule.
Parfois la candidose passe à la chronicité, un traitement prolongé pourra alors être nécessaire.
L’herpès vulvaire, il est du à un virus HSV. Il s’agit d’une infection classée parmi les infections sexuellement transmissibles. Les trois principaux problèmes posés par cette pathologie sont l’extrême douleur lors de la première crise, son caractère récidivant, et le risque de transmission au foetus lors de la fin d’une grossesse.
Le papillomavirus ou HPV est également une infection sexuellement transmissible très fréquente. Le contact par les mains peut aussi être infectant. Au niveau vulvaire, les problèmes principaux sont la pérennisation du virus, responsable de condylomes vulvaires durables, et le risque de transformation en cancer pour certains sous types d’HPV.
Les vaginoses sont responsables de pertes jaunâtres dues à une prolifération bactérienne par défaut de la flore de Doderlein. Il s’agit d’une pathologie fréquente parfois difficile à éradiquer.